mercredi 20 février 2013

Entrevue avec Annie Godin, candidate à la vice-présidence interne de la FÉÉCUM

par Anthony Doiron

Le Front : Pourquoi briguez-vous la vice-présidence interne de la FÉÉCUM?

Annie Godin : Ça fait deux ans maintenant que je siège sur le conseil d’administration en tant que vice-présidente externe du conseil d’éducation. Je sais comment ça fonctionne, je connais les dossiers; autant ceux que l’on traite présentement que ceux qui ont été traités dans le passé.

LF : Quelles seront vos priorités si vous êtes élue?

AG : C’est d’avoir une université beaucoup engagée, qui peut découler du sentiment d’appartenance. D’avoir une université beaucoup accueillante en tentant de corriger les problèmes de l’Université. On a tous eu des problèmes avec Maniweb, par exemple. Je crois aussi que les problèmes de communications entre les facultés peuvent être résolus. Je ne vois aucun problème majeur, mais je sais que chaque étudiant à des petites craintes concernant l’administration de l’Université, ça serait simplement de travailler là-dessus.

Dans le passé, nous avions créé un document qui comportait tous les problèmes des étudiants par rapport à l’Université, puis ce serait simplement de recréer un tel document puis d’aller voir Mme Marie-Linda Lord, la vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales puis de travailler avec elle.

Ma plateforme est surtout axée sur l’environnement, l’intégration, tant au niveau des étudiants d’ici que pour les étudiants internationaux.

LF : Le sentiment d’appartenance relève-t-il réellement de la vice-présidence interne de la FÉÉCUM ou bien de l’administration de l’Université et pourquoi?

AD : Moi je pense que c’est un travail de collaboration. L’administration ne peut rien faire sans les étudiants et je crois qu’on a toujours besoin de l’aide de l’administration pour gérer l’engagement étudiant. Je crois que cette année il y a un beau travail qui a été fait concernant le sentiment d’appartenance et ça serait de continuer ce travail-là et de ne pas oublier les musiciens, ceux qui font de l’art visuel, et de les encourager en achetant de leurs œuvres pour les afficher dans le centre étudiant ou dans le nouveau café qui va ouvrir.

LF : Les étudiants internationaux sont très peu présents dans les activités organisées à l’extérieur de l’AÉIUM. En tant que vice-présidente interne, que pensez-vous faire pour maximiser leur participation?

AG : Ça serait de travailler directement avec l’AÉIUM et de savoir quels sont leurs intérêts et qu’est-ce qu’ils aimeraient comme activités dans le but de mieux mélanger les Canadiens et les internationaux. Il faut dire que les activités organisées par la FÉÉCUM et par les conseils étudiants ne sont pas toujours remplies non plus, alors je crois que c’est un défi d’aller chercher l’intérêt de tous les étudiants du campus. À la base, je crois que les étudiants sont beaucoup axés sur leurs études, sur leurs notes, et d’après moi c’est la raison pour laquelle la participation n’est pas aussi présente que l’on pourrait parfois le souhaiter.

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