par Emily Briand
Le 63, le nouveau resto-bar situé au Centre étudiant, offre bien plus que de
la nourriture.
En plus des repas, on y
trouvera aussi une diététiste professionnelle et un service de traiteur. La
salle peut aussi être louée par les étudiants et organisations étudiantes qui
désirent y faire des activités.
Quant aux plats offerts,
il y aura aussi des options végétariennes qui ne sont pas encore ajoutées au
menu mais qui pourraient être, par exemple, des burritos aux haricots noirs ou
des gratins au four.
« Moi je suis excité
quand je vois ça! Vraiment, je suis très positif et très excité de ce qu’ils
nous offrent », commente M. Bauby au sujet des choix de nourriture.
Il confirme aussi qu’il y
aura, dès le 4 septembre, des sushis de l'entreprise Bento au prix du marché.
M. Bauby parle également
de laisser les étudiants essayer les repas avant d'ajouter ceux-ci au menu en
invitant 60 personnes de la communauté universitaire à venir goûter les
nouveaux repas. Si une grande majorité aime le repas et trouve que le prix est
bon, celui-ci pourrait être ajouté au menu.
Il y aura également la
possibilité de profiter des services de la diététiste professionnelle Natasha
McLaughlin-Chaisson, une diplômée de l’Université de Moncton qui travaille à
Spotmed, au CEPS.
« Une nutritionniste sera embauchée à la demande pour faire de l’éducation nutritionnelle, le
développement de menus, la revue de menus, des sessions un à un, mais ça ne
sera pas tout le monde, (…) seulement les personnes qui ont besoin, pas de
problème, ils recevront de l’aide», dit Xavier Bauby, le gestionnaire des Services alimentaires.
Il
explique que si des personnes avec une intolérance au gluten veulent savoir ce
qu’ils peuvent manger, ils pourront recevoir de l’aide. Il y aura également des
occasions pour les étudiants d'en apprendre sur un certain sujet de nutrition.
Les sessions de un à un sont réservées aux gens qui ont un besoin urgent relié
à la santé.
Pour ce qui est du
service de traiteur, il y aura bientôt un lien sur le site Web des Services
alimentaires.
Pour organiser une
activité au 63, ou même au Coude (qui sera toujours disponible pour
des activités), la Fédération des étudiants et étudiantes du centre universitaire
de Moncton (FÉÉCUM) demande aux étudiants et groupes étudiants de suivre les
étapes suivantes :
- Rencontre de groupe afin de déterminer la
date, le lieu, le prix d’entrée, les musiciens et besoins techniques de
l’événement
- Prendre rendez-vous avec Sylvie Poirier à
la FÉÉCUM afin de remplir une fiche technique et de réserver une date (un
mois à l’avance minimum)
- Communiquer avec Michel Albert pour l’affichage
et pour ajouter l'activité aux calendriers hebdomadaires installés dans
les facultés ainsi que dans le courriel des activités de la semaine
envoyés par la FÉÉCUM
Sylvie Poirier est la
coordinatrice des activités sociales. Vous pouvez la joindre par courriel
à social.feecum@umoncton.ca.
Michel Albert, pour sa
part, est l’agent des communications et peut être joint à comfee@umoncton.ca. Les prix pour louer un local peuvent varier :
il est calculé en tenant compte de la différence entre les ventes au bar et le
salaire des employés pour l’activité. Par contre, si les profits dépassent les
salaires des employés, le surplus va à la FÉÉCUM.
« On ne veut pas faire de profit sur toi,
mais c’est déficit zéro », explique Pierre Losier, le directeur général de
la FÉÉCUM.
Il souligne que la Fédération étudiante doit également payer des
assurances coûteuses, qui ne font pas partie du prix de la location. Le mardi,
mercredi ou jeudi soir (pas encore décidé) et le vendredi, de 17 h 00 à 19 h
00, sont déjà réservés pour des activités de la FÉÉCUM, mais cela ne veut pas
dire que personne ne peut les réserver.
« On veut éviter que les étudiants
viennent et que les portes soient fermées », dit M. Losier.
Le but sera de
créer une habitude chez les étudiants, que ceux-ci sachent que, s’ils n’ont
rien à faire cette nuit de la semaine, il y aura cette activité.
Par contre, si
une association étudiante veut organiser une activité un soir réservé par la
FÉÉCUM, le tout sera à discuter lors de la rencontre avec Sylvie Poirier pour
donner les meilleures chances de succès aux activités.
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