mercredi 3 avril 2013

FEECUM's Annual General Meeting


par Joey Couturier
Joey.Couturier@Gmail.com


L’Assemblé Général Annuelle de la Fédération des Étudiants du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) s’est tenu le mercredi 27 mars. Le tout devait se dérouler au Coude, mais dû à des coupures électriques en vue des rénovations dans le futur restaurant étudiant, l'AGA fut plongé dans l’obscurité avant même que celle-ci ne commence; elle fut donc changée de local. Malgré tout, la participation fut hélas mince.
Bien que la FÉÉCUM englobe la majorité des étudiants du campus, seulement qu’une infime partie, à peine trente membres, y ont assisté. La présidente Joëlle Martin est également déçue. « C’est vraiment dommage, mais il y a encore du travail à faire sur le marketing de l’événement qu’est l’AGA. L’année passée nous l’avions faite en même temps que la soirée électorale, et je crois que ça avait été une bonne formule pour la fédération. Donc peut-être retourné à ça. » Le fait que les étudiants sont dans une période critique de leur année universitaire a peut-être aussi un effet sur la participation. « Pour être honnête, chaque année c’est difficile de rassembler les étudiants ces temps-ci de l’année », ajoute-t-elle.

Le quorum fut tout de même atteint et nos représentants du Comité Executif ont donc fait part de l’état financier de la fédération (voir l’Article de Simon), ainsi que faire le bilan de l’année universitaire 2012-2013. Chaque vice-président ainsi que la présidente Joëlle Martin prirent la parole pour nous partager l’étendue des activités des et dossiers traités cette année. Par exemple, les fonctions remplies par Le Coude, les diverses activités majeures ou notre départ de l’AÉNB. 

Lors de l’assemblé, Xavier Lord-Giroux, Président du conseil d’art dramatique profita de l’occasion pour adresser un sujet chaud. Selon lui, l’affichage en anglais de certaines activités sur le campus ne serait pas représentatif de notre identité francophone. La politique linguistique ne serait pas respectée et cela porterait à confusion sur l’image que l’université aimerait projeter.

On mentionne que les événements ont souvent des noms anglais afin d’être plus accrocheurs, mais que plus d’effort aurait pu être mis afin d’afficher en français, les réseaux sociaux en sont un exemple. Quelques questions ont donc été soulevées notamment par Anthony Doiron qui se demandait si nos principes linguistiques étaient moins importants que le côté marketing de nos activités étudiantes. Nous risquons donc d'en entendre encore parler d'ici la fin de la session ainsi que l'an prochain.

Toute l’information sur les dossiers discutés pendant l’AGA ainsi que la totalité des bilans seront publiés sur le site web de la FÉÉCUM au courant de la semaine.

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