par Joey
Couturier
Joey.Couturier@Gmail.com
L’Assemblé
Général Annuelle de la Fédération des Étudiants du Centre universitaire de
Moncton (FÉÉCUM) s’est tenu le mercredi 27 mars. Le tout devait se dérouler au
Coude, mais dû à des coupures électriques en vue des rénovations dans le futur
restaurant étudiant, l'AGA fut plongé dans l’obscurité avant même que celle-ci
ne commence; elle fut donc changée de local. Malgré tout, la participation fut hélas
mince.
Bien que la FÉÉCUM
englobe la majorité des étudiants du campus, seulement qu’une infime partie, à
peine trente membres, y ont assisté. La présidente Joëlle Martin est également déçue. « C’est vraiment dommage, mais il
y a encore du travail à faire sur le marketing de l’événement qu’est l’AGA. L’année
passée nous l’avions faite en même temps que la soirée électorale, et je crois
que ça avait été une bonne formule pour la fédération. Donc peut-être retourné
à ça. » Le fait que les
étudiants sont dans une période critique de leur année universitaire a
peut-être aussi un effet sur la participation. « Pour être honnête, chaque
année c’est difficile de rassembler les étudiants ces temps-ci de l’année »,
ajoute-t-elle.
Le quorum fut
tout de même atteint et nos représentants du Comité Executif ont donc fait part
de l’état financier de la fédération (voir
l’Article de Simon),
ainsi que faire le bilan de l’année universitaire 2012-2013.
Chaque vice-président ainsi que la présidente Joëlle Martin prirent la parole
pour nous partager l’étendue des activités des et dossiers traités cette année.
Par exemple, les fonctions remplies par Le Coude, les diverses activités majeures
ou notre départ de l’AÉNB.
Lors de l’assemblé, Xavier Lord-Giroux, Président du conseil d’art dramatique profita de l’occasion pour adresser un sujet chaud. Selon lui, l’affichage en anglais de certaines activités sur le campus ne serait pas représentatif de notre identité francophone. La politique linguistique ne serait pas respectée et cela porterait à confusion sur l’image que l’université aimerait projeter.
On mentionne que
les événements ont souvent des noms anglais afin d’être plus accrocheurs, mais
que plus d’effort aurait pu être mis afin d’afficher en français, les réseaux
sociaux en sont un exemple. Quelques questions ont donc été soulevées notamment
par Anthony Doiron qui se demandait si nos principes linguistiques étaient
moins importants que le côté marketing de nos activités étudiantes. Nous
risquons donc d'en entendre encore parler d'ici la fin de la session ainsi que
l'an prochain.
Toute l’information
sur les dossiers discutés pendant l’AGA ainsi que la totalité des bilans seront
publiés sur le site web de la FÉÉCUM au courant de la semaine.
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